Garder des relations amicales hors "camarades de galère"

Lorsque l'on vit en institution, lès règlements intérieurs desdits lieux font qu'on ne peut que très rarement avoir du temps hors structure afin de rencontrer d'autres personnes, ou garder des contacts avec des proches de "la vie d'avant. On est très souvent obligé de rentrer à une heure dite et non-négociable, sauf cas de force majeure, et ainsi, pratiquer une activité culturelle, ou sportive, ou mème militante, devient souvent impossible. Cela conduit progressivement à l'isolement social du résident, et par ce moyens, l'empêche de se défendre, de par la solidarité d'un réseau, contre d'éventuels abus de l'institution.

Et vous? Comment avez vous su gérer vos relations après être "tombé dans la pauvreté". Etes-vous, aujourd'hui, encore isolé(e) d'un point de vu relationnel.?

Analysons ensemble.